La Bâtie-des-Fonds

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La Bâtie-des-Fonds
La Bâtie-des-Fonds
Restes du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Die
Intercommunalité Communauté de communes du Diois
Maire
Mandat
Brigitte Chevrot
2020-2026
Code postal 26310
Code commune 26030
Démographie
Gentilé Bâtillonnais, Bâtillonnaises
Population
municipale
hab. (2021 en diminution de 66,67 % par rapport à 2015)
Densité 0,17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 30′ 55″ nord, 5° 38′ 22″ est
Altitude Min. 872 m
Max. 1 640 m
Superficie 12,12 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Diois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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La Bâtie-des-Fonds

La Bâtie-des-Fonds est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Avec 2 habitants en 2021, c'est l'une des communes les moins peuplées de France. Elle se situe à l'est du département, dans le Haut-Diois.

Ses habitants sont dénommés les Bâtillonnais.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La Bâtie-des-Fonts est située à 45 km de Die et 27 km de Luc-en-Diois.

Rose des vents La Beaume (Hautes-Alpes)
Les Prés
La Beaume (Hautes-Alpes) La Beaume (Hautes-Alpes) Rose des vents
Les Prés
Valdrôme
N Saint-Pierre-d'Argençon (Hautes-Alpes)
O    La Bâtie-des-Fonds    E
S
Valdrôme Valdrôme
La Piarre (Hautes-Alpes)
La Piarre (Hautes-Alpes)

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Sites particuliers[1] :

  • Banne (1643 m)
  • Col de Carabès
  • Col de la Selle
  • Col des Combes
  • Col des Fourches
  • Col des Quatre Chemins
  • Col du Célard
  • Côte du Four
  • le Virole (1084 m)
  • Roc de la Tour (1414 m)
  • Serre de la Gardette
  • Serre de l'Aye (1214 m)
  • Serre du Charron

Géologie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :

  • la Drôme qui y prend sa source à 1 060 m d'altitude ;
  • le Béal de la Ferrière ;
  • Ravin de Combe Noire ;
  • Ruisseau de Clot Long ;
  • Ruisseau de Freyssinet.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 7,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 918 mm, avec 8,2 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Valdrôme à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 065,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Bâtie-des-Fonds est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

La commune est hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (92,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Village retiré : « une quinzaine de bâtisses cousues à la montagne »[14].

Quartiers, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Site Géoportail (carte IGN)[1] :

  • Chamel
  • Champ Barral
  • Champ Riès
  • Chautier
  • Chauvet
  • Clot de Guercin
  • Enfurmy
  • Floudit
  • Fontanasse
  • Forêt Domaniale du Val-de-Drôme
  • Freyssinet
  • Frigoure
  • Gaudissard
  • la Condamine
  • la Faisse
  • la Grande Blache
  • la Haute Valette
  • l'Aigache
  • la Roche
  • la Viste
  • le Champ des Noyers
  • le Châtelar
  • le Devès
  • le Pennas
  • le Pré de la Selle
  • le Rigaudon
  • le Sagnas
  • les Buis
  • les Champs Ronds
  • les Clapiers
  • les Combes
  • les Maures
  • les Plants
  • les Préaux
  • le Vignal
  • le Vivier
  • Malcuit
  • Paraux
  • Pré Lombard
  • Pré Rond
  • Riobel

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la route départementale D 106[1].

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[15] :

  • 1220 : Bastida Vallis Dromae (Mém. pour l'évêché de Die, 37).
  • XIVe siècle : mention de l'église : capella Bastide Foncium (pouillé de Die).
  • 1509 : mention de l'église : ecclesia Bastide Fontium (visites épiscopales).
  • 1661 : La Bastye des Fons (archives de Vaunaveys).
  • 1891 : La Bâtie-des-Fonts, commune du canton de Luc-en-Diois.

Non daté[réf. nécessaire] : La Bâtie-des-Fonds.

Étymologie[modifier | modifier le code]

En occitan, les fonts sont le nom donné aux petites sources[réf. nécessaire].

Histoire[modifier | modifier le code]

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

La seigneurie[15] :

  • Au point de vue féodal, la terre (ou seigneurie) était premièrement possédée par les Isoard d'Aix.
  • 1320 : elle passe (par mariage) aux princes d'Orange de la maison de Baux.
  • La terre est unie à celle de Valdrôme.

Avant 1790, la Bâtie-des-Fonts était une communauté de l'élection de Montélimar, subdélégation de Crest et du bailliage de Die.
Elle formait une paroisse du diocèse de Die. Son église était dédiée à saint Martin. Les dîmes appartenaient au commandeur de Valdrôme qui nommait à la cure[15].

La Tour[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[16] :

  • 1525 : in Turno et las Turres (terrier de l'évêché de Die).
  • 1891 : La Tour, quartier de la Bâtie-des-Fonds.

Probablement l'emplacement de la Bâtie des Peloux (voir Valdrôme)[16] :

  • 1347 : Fortis seu breve fortalicium quod fuit Pilosorum apud Vaudromam (Valbonnais, II, 550).
  • 1391 : le chastel et forteresse qui fut des Peloux en la Valdrome (choix de documents, 215).
  • XVIe siècle : Pelauson, le Fort, domaine et méterie ayant appartenu aux Peloux (inventaire de la chambre des comptes).

La seigneurie[16] :

  • Le château et le fief relevaient des dauphins.
  • Possession des Peloux.
  • Début XIVe siècle : la terre passe aux comtes de Valentinois.
  • Milieu XVIe siècle : acquise par les Reynard qui la rattachent à la part de la seigneurie de Valdrôme acquise des Vétéris en 1333, par indivis avec les évêques de Die.
  • 1706 : elle passe (par mariage) aux Gallien de Chabons.
  • 1750 : vendue aux Chevandier.

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

En 1790, cette commune est attribuée au canton de Valdrôme, mais la réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la fait entrer dans celui de Luc-en-Diois[15].

 : le village subit un glissement de terrain qui emporte une partie du village. Ce glissement avait commencé lentement à la fin de l'année 1935. Il n'y a pas eu de victimes mais le village s'est trouvé défiguré et a même failli être abandonné[17] : au total 200 hectares de champs et de bois détériorés, 1 500 mètres de route dégradées, quinze maisons détruites[18]. Seule la partie plus ancienne du village (au-dessus de la route) construite sur un sol calcaire est restée intacte.

La commune subira un autre éboulement, celui-ci survenant en contrebas du village, coupant la route descendant vers la vallée et le village de Valdrôme. L'ampleur de cet éboulement obligera de reconstruire la route sur un tracé différent, passant dans le fond de la vallée pour remonter et rejoindre la route originale[réf. nécessaire].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendance politique et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 ?    
1983 1989 Émile Blanc    
1989 1995 ?    
1995 2001 ?    
2001 2008 Jean-Marc Deloupy Dobin    
2008 2014 Brigitte Chevrot (sans étiquette) retraitée
2014 2020 Brigitte Chevrot   maire sortante
2020 En cours
(au 25 décembre 2020)
Brigitte Chevrot[19][source insuffisante]   maire sortante

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[21].

En 2021, la commune comptait 2 habitants[Note 2], en diminution de 66,67 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
257150302260237212193192182
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
159149140138108106105100100
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
908460574041221611
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1411917810885
2018 2021 - - - - - - -
32-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Loisirs[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

La commune a la particularité de ne pas avoir d'église[réf. nécessaire].

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : forêt (bois), pâturages (ovins)[14].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

  • Panorama du col de Carabès (1261 m)[14].
  • Source de la Drôme[14].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Blason à dessiner Blason
Inconnu.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d https://www.geoportail.gouv.fr/
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre La Bâtie-des-Fonds et Valdrôme », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Valdrôme », sur la commune de Valdrôme - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Valdrôme », sur la commune de Valdrôme - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. a b c et d Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), La Bâtie-des-Fonds.
  15. a b c et d J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 24 (La Bâtie-des-Fonts).
  16. a b et c J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 390 (La Tour).
  17. Paul Méjean, « Le glissement de La Batie-des-Fonds (Haut-Diois) », Revue de géographie alpine, vol. 24, no 4,‎ , p. 950–954 (DOI 10.3406/rga.1936.3558, lire en ligne, consulté le ).
  18. « Les risques majeurs dans la Drôme », sur www.drome.gouv.fr, (consulté le ).
  19. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.